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Bonjour, mon conjoint et moi-même avons arrêter de fumer il y a un peu moins de 3 semaines. On étaient pas de gros fumeurs (un 10aine par jour) mais depuis 15ans pour moi et 17 18ans pour lui (nous sommes jeunes mais avons tout les 2 commencer à 13 14ans). Nous avons arrêter du jour au lendemain, sans aide médicale ni substitut nicotinique. Nous sommes actuellement en voyage long en Asie, on s'est dit que c'était le bon moment car nous n'avons pas nos habitudes routinière. Nous avons craquer une 1ere fois à 2 semaines de l'arrêt, moi j'ai craquer une 2ème fois 2 jours après et il m'a fait beaucoup culpabiliser. J'ai du coup le lendemain acheter une vapoteuse jetable me disant que cela m'aiderait à tenir. Pour lui ce n'est pas un soucis d'avoir arrêter sans aide ni substitut, je lui ai demander si il pouvait avoir rdv avec un tabacologue si il le prendrait et m'a dit non, "il suffit de se dire non c'est non". Pour moi c'est une autre histoire, en effet la vape m'aide beaucoup mais il n'est pas d'accord avec ça et me fait beaucoup culpabiliser de vapoter. Il me dit que je remplace une adiction nocive par une autre un peu moins nocive. Je lui ai expliquer qu'on est tous différents face à l'adiction et que chacun arrête à sa manière mais il n'est pas du tout d'accord avec ça. Ça m'embête beaucoup et j'ai entendu que certaines personnes étaient prêt pour l'arret du tabac et d'autres non. Je me demande si c'était le bon moment pour moi ou pas. Je me suis toujours dit que j'aurais besoin d'aide d'une manière ou d'une autre en arrêtant de fumer car j'ai toujours fumer en adorant ça, quand j'étais enfant j'étais déjà très attiré par l'odeur et le geste alors que personne de ma famille de fumait. Je me pose plein de question et me demande ce que vous pensez de la vapoteuse ? Merci de m'avoir lu Cordialement

Bonjour, Depuis le 13/11/2023, j'ai mis un patch 21 mg/24h d'une certaine marque. Le premier jour, je n'ai pas utilisé d'autres substituts nicotiniques (j'ai des gommes nicotiniques 2mg sans sucre), et le soir, alors que c'était mon anniversaire et que j'ai retrouvé ma famille, j'ai craqué en râlant pendant 3/4 d'heures, ce qui a évidement gâché la soirée pour ma famille : un enfant de 6 ans (=ma principale motivation à arrêter de fumer pour pouvoir profiter de sa présence et le voir grandir et évoluer) et ma femme qui a le même âge que moi. Ce soir là, j'ai essayé différentes techniques de relaxation, comme la respiration profonde, mais je n'y arrivais pas, j'avais le souffle court et je ne respirait qu'avec le haut de ma cage thoracique, comme si je devais faire face à une attaque. Sur le moment mon souhait était de fuir, mais là nuit tombée, je n'avais personne chez qui aller, et je ne voulais pas tourner en rond dans le quartier ou j'habite avec une telle émotion de colère et de frustration. Alors j'ai essayé de boire un grand verre d'eau = rien, de m'enfermer dans ma chambre assis sur le lit = rien. Alors j'ai crié pour déballer les choses qui me mettent en colère et que d'habitude "j'étouffe" en allumant une cigarette ou en vapotant sans m'arrêter pendant une dizaine de minutes (e-liquide + 6 mg de nicotine). Or je ne possède pas de balcon où je peux être sans vis à vis de mes voisins et comme je n'ai pas de relations harmonieuses avec mes voisins que je ne connais pas et qui ne m'intéressent pas, je préfère ne pas m'exposer à leur vue sur mon maigre balcon derrière ma porte fenêtre. Cela m'est déjà arrivé et mon voisin m'a adressé la parole pour me parler de ses passions qui ne m'intéressent pas, bien que je saches que ce n'est pas un mauvais bougre, même si il est fumeur et que sa vie n'est pas la mienne. Or avec la canicule de cet été, les fenêtres étant ouvertes, je n'ai pas pû faire autrement que d'expliquer à mon fils de 6 ans que fumer est une maladie qui s'appelle le tabagisme, et je lui explique qu'il ne doit pas respirer la fumée des gens qui fument, qui qu'ils soient, même si ce sont des parents d'élèves qu'il connaît et même si ce sont des membres de la famille, car respirer de la fumée, quelle qu'elle soit est mauvais pour la santé. Or le soir, ou le week-end, lorsque j'aere, je sent l'odeur de tabac froid de mes voisins et je dis à l'attention de mon fils : ça sent mauvais le tabac froid ! Mais ma femme qui a été fumeuse, ça l'insupporte que je dise ça et me le fait savoir en disant que chacun fait ce qu'il veut ! Phrase à laquelle je réponds "ce qu'il peut !" Alors je ne me sent pas assez soutenu et de façon irrationnelle je ressent un sentiment d'abandon qui m'angoisse encore plus...

Bonjour, Je fume depuis 20 ans environ. J’ai un pré-diagnostic de trouble de l’autisme, et je me demandais s’il y avait des particularités chez les personnes autistes. Il y a notamment la perception du goût et de l’odorat qui peuvent être modifiés. Si je ne fume pas pendant 24h par exemple, les odeurs d’égout en ville et l’odeur du tabac des autres me gêne. Après avoir arrêté l’alcool en début d’année, et en restaurant ma flore intestinale, j’ai perdu 10kg et retrouvé mon poids d’il y a 20 ans. Mais avec une perte d’appétit actuellement, et une tendance à encore maigrir, je me dis qu’arrêter le tabac serait utile. La modification du goût et de l’odorat risque de me gêner par moment mais aussi de m’aider ailleurs, ici pour garder un poids correct. Ayant de l’éco-anxiete liée au réchauffement climatique, et aussi depuis le 7 octobre un traumatisme avec les attaques en Israël (étant proche des valeurs du festival de psytrance qui a été massacré), j’ai des insomnies qui deviennent trop gênantes. Je me dis que quitte à ne pas dormir, ou presque, autant savoir pourquoi. Tout en prenant du magnésium (bisglycinate pour une firte assimilation), de la vitamine D, des vitamines du groupe B, de la coenzyme Q10, de l’aubépine et de l’agripaume pour diminuer l’anxiété et aider le système cardiovasculaire à se réparer, de la lavande ou de la mélisse, ainsi que des bains chauds. Y-a-t-il d’autres vitamines, minéraux, plantes ou techniques naturelles pour aider à se relaxer ? Depuis mon déménagement loin de Paris, je ne fume plus que dehors, si j’arrive à continuer d’arrêter, j’essayerais de transformer ces pauses en marches. Si les envies deviennent trop fortes, faut-il se permettre un écart en limitant sa consommation à une cigarette chaque soir par exemple ? Je ne pense pas vraiment être accro à la nicotine mais au geste et aux additifs. Est-ce que vaporiser une plante régulièrement à la place (aspérule odorante par exemple) peut aider à se défaire de cela ? Est-ce que le cannabidiol (CBD) peut aider ou non (en huile ou en vaporisation) ? Peut-être que certains traitements pour les autistes n’en sont qu’aux premières études, mais je suis prêt à prendre quelques risques pour arrêter. J’imagine que vous ne pourrez pas répondre à tout tout de suite, n’hésitez pas à faire de premières réponses, puis la suite par email par exemple. En attendant vos premiers conseils, je vous souhaite une bonne journée.

J ai arrêté de fumer depuis 4h30 ce matin au lever du lit j avait arrêté les patch et les gomme à mâcher je bois que du café qu est-ce que je peux prendre à la place car d habitude c est café clope et la c est café cigarette électronique est-ce que sa va aller avec. Les substitu pour arrêté pour de bon

Bonjour, Merci pour votre site donc la consultation m'a ete d'une grande aide. Fumeuse depuis 27 ans, cigarettes industrielles pendant 10 ans, (30 par jour), puis deux temps de vapotage exclusif pour des rzisons financieres) Retour aux cigarttes tubees cette fois. Tentative d'arret avec varenicline qui s'est solde par une rechute. La apres lecture, notemment de doc de l'inserm, qui parlait des additifs (et imao) comme renforcant la dependance, je decide de fumer du tabac rouler marque sauvage sans additifs. depuis 4 ans de tabac roule donc. Un pasuet de 30 mg tous les deux jours Depuis le 4 janvier 2024 arret de tout tabac avec patch et cigarette electronique 0 mg. J'ai volontairement fait patch 14 deux semaines et oatch 7 deux semaine et plus rien. Je n'etais plus dependante physiquement de la nicotine tres rapidement et je l'ai senti. En revanche gros symptomes de sevrages mais j'ai gerer. Sauf quand est apparue l'insomnie +++ la rechute da s le sens ou je lzt de la nicotine dans ma cigarette electronique. Du coup la j'oscille entre cigarette electronique 0 mg et cigarette electronique avec dosage de 16 de nicotine quand le moral chute. Ma question : la cigarette electroniquevavec nocotine de 16 mg a t elle reouvert les recepteurs nicotiniques ? J'ai l'impression que je mets de la nicotine juste pour contrer les periodes de difficultes de concentration au travail (deuxieme symptome difficilement gerable pour moi) Je suus un peu oerdu, mon generaliste ne m'aide que peu et je n'ai pas envie de consulter un tabacologue. Que me conseillerez vous ? Aores sevrage totale de la nicotine du tabac, la nicotine de la cigarette electronique a t elle reouvert les receoteurs. Est ce que tout est a recommencer ? Merci a vous et merci de votre reponse.

Bonjour, Je vous explique en gros ma situation, je suis fumeuse depuis 23 ans. Mon compagnon depuis 30 ans et il a de l emphysème sévère. Depuis 3 mois nous avons envisagé d arrêter ensemble la cigarette, nous avons pris contact avec une hypnothérapeute, pendant 2 mois nous avons effectué tout les jours de la cohérence cardiaque ( par sa demande) nous avons programmé la date du 02/09/2024. Nous étions très motivés, le jour j arrive, nous allons chacun a notre tour chez la dame. Pour ma part ça a été une super réussite, j ai repris mon auto pour revenir jusqu'à chez moi et aucune fois j'ai pensé à la cigarette. La fin de journée s'est passé a merveille, je buvais énormément d eau ( une gourde que l hypnothérapeute nous as donné) la nuit parfaite et le lendemain au travail Nikel, j apreandait beaucoup ma journée au travail mais elle s'est avéré positif, pendant mes pauses je prenais mon café et de l autre main ma gourde d eau. J avais par moment des envies certes mais je me disais "tu y penses c est normale après plus de 20 ans mais c est terminé" et j arrivait a changé mes idées directement. Par contre en rentrant chez moi ça n'a pas été, mon compagnon sentait la cigarette il avait rechuter ( je voyais bien qu'il était fort silencieux la veille et qu'il avait du mal mais je pensais que ça lui aurai passé) Mais en sentant l odeur je me suis mise dans une colère immense puis par des pleurs et puis j'ai rechuter. Je suis resté sans la cigarette pendant 36h et je me suis tellement sentie bien. Depuis le 3 septembre je le vis assez mal très mal , des rêves que je suis non fumeuse et je me réveille en étant finalement fumeuse. Depuis ce jour là je n arrête pas de pensé à mon échec et je le vis vraiment mal. Mon compagnon ne souhaite plus arrêter pour le moment ( il ne travail pas actuellement et dis que ce n'est pas le moment) Mais pour moi c'est le moment je le sent bien, mes enfants n arrête pas de me demander d arrêter et je me sent pas bien avec la cigarette. J aimerai recommencer mais cette fois avec une cigarette électronique sans nicotine directement pendant 1 semaine puis repassé a ma gourde d eau et pour finir refaire une séance d hypnose ( car j'ai droit à un repassage) Mais ma question est la suivante : comment faire quand nous avons un compagnon fumeur ? ( il ne fume pas dans la maison, mais dehors mais rien n a faire je sais où il va et je sent l odeur quand il rentre et c'est vachement dure) Es ce que c est parce que l hypnothérapeute a parler du couple dans l hypnose ? Que nous avons fait des projets a deux sur l arrêt du tabac et que vu qu'il a échoué j'ai du échoué aussi ? Je ne sais pas. Merci beaucoup pour votre aide.

J'ai fait ce geste au moins une bonne dizaine de fois des dizaines d'euros à la poubelle et des centaines de milliers brûlées... fumées... Je n'ai plus de souffle plus de poumons, je ressemble à une vieille de 90ans mon corps n'est plus le mien... J'ai 51 ans, plus précisément je suis dans ma 52eme année et je fume depuis 41 ans. Ce matin encore je suis allée me chercher du tabac et un paquet de cigarettes. Je viens de rouler 8 cigarette et il reste 19 blondes dans le paquet. Je les garde sachant qu'elles seront fumées demain, enfin dans quelques heures il est 00h22. Cela fait des mois , plus d'un an que chaque soir j'y pense que chaque jour j'en souffre. Les chaleurs de l'été sont devenues un enfer , je ne transpire pas je ruisselle, je meurs sous le soleil de l'été, je ne peux pas faire d'effort important je me blesse sans cesse, m'a libido c'est eteinte d'effort physique qui me sont devenues insubmersible... insupportable. Le vent, l'air de l'hiver froid me brûle, je m'étouffe à chaque bouffée et pourtant je les rallume. Je crève à petit feu de cette drogue qui est la mienne. A cet instant encore je ne sais pas comment m'en défaire. Je suis juste pleinement conscientes des douleurs physiques qui sont les miennes de cette sinusite infectieuse dont je n'arrive pas à me défaire de cette bronchite chronique qui m'accompagne depuis des années l'hiver. J'ai peur de ce monde s'en le soutien de mes cigarettes, sans leurs compagnies qui n'exigent rien de moi qu'un peu d'argent et d'une flamme pour qu'à chaque moment elles soient auprès de moi. Je suis terrorisée par ce manque, par cette obsession mentale quelle représente pour moi. J'ai divorcée deux fois, deux départs à zéro, des combats ou elles ont toujours été près de moi. Des joies, avec mon plus grand bonheur de vie qui s'appelle François et que j'abime également par cette Stéphanie drogués et fatiguée de l'usure du tabac. Elles sont m'ont quotidien, elles ne sont gérer que par moi, et cela m'effraie. Par moment, mon cerveau n'est obsédé que par cela, les restrictions actuelles pour les fumeurs sont devenues un stresse une peur un handicap car je ne sais pas gérer, enfin me débarrasser de cette obsession de fumer. Je pense à me faire hospitaliser, mais j'ai peur de l'hôpital. J'ai peur de ce combat qui contrairement à tous les autres que j'ai pu mener dans ma vie et que j'ai gagner par rage force et volonté j'ai peur de celui là, j'ai peur de perdre une partie de moi. J'ai peur de ne pas en avoir la force mentale. Et pourtant si je ne le fais pas, si je n'arrête pas de fumer je ne retrouverai pas je ne retrouverai plus l'énergie qui m'animait encore il y a quelques petites années. Ce n'est pas la mort qui m'inquiète, c'est juste de ne pas pouvoir être celle que j'ai été et que le tabac à détruit jour après jour, cigarette par cigarette, et toujours plus de cigarettes encore ces derniers mois accompagnant mes échecs professionnels qui se succèdent depuis un mauvais choix, j'ai cherché mais je n'ai pas trouvé d'interlocuteur pour m'accompagner dans ce combat. Comme les autres il n'y a que moi, pour franchir ce cap et je ne vois pas encore où poser mes pas pour franchir cette route jonchée de mégot de cendre de cadavre de moi. Je ne sais pas où trouver cette volonté là, alors que pour la vie je n'en manque pas. C'est une lettre à moi même à cette épave que je suis ou du moins je me ressens ainsi. Je ne dors pas où très mal depuis des mois. J'ai encore perdu un job mais je sais aussi que tristesse ou joie ne sont que des excuses à maintenir le rythme effréné de toutes ces clopes que j'allume et consume. Que je crache chaque jour et qui ne m'arrête pas. Je cherche la force, la clé de ma propre colère envers moi pour réussir à franchir ce pas. Je garde de semaine en semaine les reliquats des blagues de tabacs. Je vois ma folie, mon addiction rire de moi et la honte que je ressens de plus en plus a me sentir incapable de freiner de stopper cela. Je veux arrêter de fumer mais comment, comment faire pour réussir cela...

Bonsoir, j'ai décidée il y a plus d'un mois que j'arrêterai de fumer lorsque ma cartouche serait terminée. Je fumais en moyenne une bonne dizaine de cigarettes par jour. Depuis ma décision, j'ai limité ma consommation à 4/5 par jour, 6 en soirée. Depuis ce we,je suis passée à 2 . Il ne me reste que 2 cigarettes... Depuis ce we j'ai vraiment très faim, je ne sais pas si c'est lié. Quel dosage de traitement dois je me faire prescrire avec des patch ou chewing-gum... quel dosage? Je vous remercie pour votre aide

Bonjour ou bonsoir, Voilà que j'arrive au terme de mon 2ème jour sans fumer, avec patch à 21mg et spray, je me sens à peine en résistance à l'envie de fumer. Je n'ai jamais aussi bien vécu l'arrêt du tabac, je suis fière de moi et quelque peu confiante. Seulement voilà, j'ai démarré hier en l'absence de mon conjoint fumeur. Il est rentré ce soir et j'appréhende la soirée... Et même s'il ira probablement fumer dehors j'ai peur de craquer... Pour ce soir je pense pouvoir gérer avec le spray mais je crains qu'à la longue cela ne suffise plus... Quels conseils et/ou informations auriez vous à me donner pour ne pas craquer, ni devenir ultra intolérante à son tabagisme? Je veux pouvoir tenir! Après plus de 20 ans de consommation il est temps que ça s'arrête (à 34 ans ça fait les 2/3 de ma vie!) mais pas au détriment de mon couple... Comment vivre mon sevrage sereinement sans endommagé mon couple? En vous remerciant par avance de votre réponse.